LA TOUR DES MIRACLES

de Georges Brassens. Adaptation et mise en scène Ivan Morane
Cie Réalités/Ivan Morane

CHAPELLE DES TEMPLIERS. Du 7 au 30 juillet, à 21h00. Durée : 1h15
TARIFS 24/16/12 euros. Relâche le mardi (12, 19 et 26 juillet).

Truculence rabelaisienne et situations surréalistes. Au dernier étage de l’abbaye Gré-du-vent à Montmartre vit une étrange communauté aux mœurs saugrenues et au comportement pour le moins surprenant.

Le spectacle créé en 2008 a été remis en scène à l’occasion du centenaire de la naissance de Brassens à Sète en 2021.
La Tour des Miracles abrite une dizaine de personnages qui rappellent ceux dont le libertaire guitariste peupla ses chansons : Courte-pattes, Voirie-Voirie, Harpe éolienne, Corne d’Auroch, Pile-face, Annie Pan-pan-pan, Passe-Lacet et tout un aréopage de grands-mères et de chats, tous interprétés par deux comédiens (Ivan Morane et Alexandre Shorderet). 
Nul doute que ceux qui rient, pleurent, se révoltent ou s’enthousiasment à l’écoute des chansons de Brassens apprécieront ce spectacle truffé de dialogues aux répliques courtes, au rythme effréné, et planté dans un décor qui ressemble à un grenier mal rangé où des dizaines d’accessoires se rencontrent dans tous ses recoins.
« La Tour des miracles pose la question : Où vivre ? Dans la grisaille de la misère et du quotidien ou dans le délire du rêve et de l’imaginaire ? » Jean-Paul Liégeois (éditeur des Œuvres complètes de Georges Brassens)

Avec Ivan Morane et Alexandre Schorderet.

Mise en lumière : Ivan Morane – Musiques : Georges Brassens, enregistrées par : Jean-Philippe Vié, Grégory Daltin, Démis et Lorrie Delatie, mixées par : Fabien Augui

« Nous crions aux Miracles. » La Dépêche du midi

« Les comédiens font apparaître les objets drolatiques et les zigotos tendres et déjantés de cette Babel loufoque. Un hommage au Paris des années 40, à Brassens et à sa langue verte et hilarante. » La Terrasse

« Grâce au travail de la Compagnie Ivan Morane, nous pouvons découvrir ce texte méconnu de Georges Brassens. Nous reconnaissons toute la poésie de l’auguste fumeur de pipe, les thèmes qui lui sont chers et les êtres qui peuplent ses chansons… La mise en scène, toute en rythme et inventions, transpire la tendresse pour Brassens. » Froggy’s Delight